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Syndrome métabolique : comprendre, prévenir et agir naturellement

Rédigé par Experts COPMED
06/11/2025

Notre équilibre métabolique constitue le socle de notre santé globale et, en particulier, de notre santé cardiovasculaire. Il régule la manière dont notre organisme utilise l’énergie, stocke les graisses, gère le sucre et entretient la vitalité de nos cellules. Mais lorsque ce système finement orchestré s’enraye, le corps entre en déséquilibre : hypertension, excès de cholestérol, glycémie élevée, graisse abdominale persistante... Ces signaux traduisent une dérégulation profonde du métabolisme.

Ce tableau, connu sous le nom de syndrome métabolique, touche aujourd’hui près d’un adulte sur cinq en France selon l’INSERM[1]. Il ne s’agit pas d’une maladie isolée, mais d’un ensemble de facteurs de risque cardiovasculaire et métabolique qui s’additionnent silencieusement au fil du temps.

Comprendre ce syndrome, c’est faire le premier pas vers la prévention : agir tôt pour préserver son cœur, son poids et son énergie.

QU’EST-CE QUE LE SYNDROME MÉTABOLIQUE ?

Le syndrome métabolique n’est pas une maladie, mais un ensemble de déséquilibres métaboliques qui augmentent le risque de développer diverses pathologies. Les personnes concernées présentent un tour de taille élevé, > 94 cm chez l’homme et > 80 cm chez la femme, associé à moins 2 autres troubles parmi les suivants :

  • Triglycérides élevés : > 1,5 g/L
  • Cholestérol HDL faible : < 0,40 g/L chez l’homme, < 0,50 g/L chez la femme
  • Pression artérielle élevée : > 130/85 mmHg
  • Glycémie à jeun élevée : > 1 g/L

Ces indicateurs permettent néanmoins d’identifier précocement les personnes à risque et de mettre en place des mesures de prévention adaptées.

Le syndrome métabolique résulte de plusieurs perturbations biologiques interconnectées, qui créent un cercle vicieux accentuant les risques métaboliques et cardiovasculaires :

À RETENIR :

✅Le syndrome métabolique est un ensemble de troubles (glycémie, lipides, tension, tour de taille) qui multiplie le risque cardiovasculaire.

✅La graisse viscérale est le signal d’alerte à ne pas ignorer.

✅Le bilan métabolique permet une prévention précoce et personnalisée.

✅Une alimentation méditerranéenne, une activité physique régulière et une bonne gestion du stress en sont les meilleurs remèdes.

✅Certains compléments naturels permettent de rééquilibrer le métabolisme

MÉCANISMEDESCRIPTIONCONSÉQUENCES
Résistance à l’insuline[2]Cellules qui répondent moins efficacement à l’insuline, hormone de régulation de la glycémie.Hyperglycémie chronique, accumulation de triglycérides, diminution du HDL, risque accru de diabète et maladies cardiovasculaires.
Inflammation chronique de bas grade[3]Activée par l’excès de graisse viscérale, alimentation déséquilibrée et sédentarité.Perturbation du métabolisme lipidique, hypertension, vieillissement vasculaire accéléré.
Dysfonctionnement cardiovasculaire[4]Stress oxydatif et inflammation qui endommagent la paroi des vaisseaux sanguins.Formation de plaques d’athérome, hypertension, augmentation du risque cardiovasculaire.
Déséquilibre du microbiote intestinal[5],[6]Microbiote appauvri ou déséquilibré qui altère la barrière intestinale et la régulation métabolique.Renforcement de la résistance à l’insuline, inflammation systémique, accumulation de graisse abdominale.
Excès de graisse abdominal[7]Dépôt de graisse autour des organes, actif sur le plan hormonal et inflammatoire.Production de cytokines pro-inflammatoires, perturbation du métabolisme lipidique et glucidique, facteur majeur du syndrome métabolique.

Le syndrome métabolique résulte d’une combinaison de facteurs génétiques, hormonaux et environnementaux. Certains éléments peuvent aggraver le risque et accélérer l’apparition des troubles :

  • Tabagisme : le tabac favorise l’inflammation chronique, le stress oxydatif et la dysfonction endothéliale, augmentant le risque cardiovasculaire.
  • Sédentarité et manque d’activité physique : une vie trop inactive favorise la résistance à l’insuline, la prise de graisse abdominale et la dyslipidémie. L’activité physique régulière, au contraire, améliore la sensibilité à l’insuline et la santé cardiovasculaire.
  • Alimentation déséquilibrée : les régimes riches en sucres rapides, graisses saturées et produits transformés augmentent le stockage de graisse viscérale et perturbent le métabolisme lipidique.
  • Stress chronique et troubles du sommeil : le stress permanent et le manque de sommeil entraînent une production excessive de cortisol, favorisant la prise de poids abdominale et la résistance à l’insuline.
  • Antécédents familiaux : une histoire familiale de diabète de type 2, d’obésité ou de maladies cardiovasculaires augmente la vulnérabilité face aux déséquilibres métaboliques.

Le syndrome métabolique touche plus fréquemment les personnes de plus de 45 ans, âge où le métabolisme ralentit naturellement et où les déséquilibres hormonaux apparaissent, notamment chez les femmes ménopausées. Cependant, il peut se manifester plus tôt chez les individus présentant plusieurs de ces facteurs aggravants, notamment en cas de sédentarité, d’alimentation déséquilibrée ou de prédisposition génétique.

LE BILAN MÉTABOLIQUE : UN OUTIL DE PRÉVENTION CARDIOVASCULAIRE

Le bilan métabolique est un examen essentiel pour détecter précocement les déséquilibres avant l’apparition de complications. Il permet d’évaluer l’état général du métabolisme en mesurant des paramètres essentiels :

  • Glycémie à jeun et hémoglobine glyquée (HbA1c) : pour détecter l’hyperglycémie et le risque de diabète.
  • Profil lipidique : triglycérides, cholestérol total, HDL et LDL, pour évaluer le risque cardiovasculaire.
  • Tension artérielle : un indicateur clé de la santé cardiovasculaire.
  • Mesures anthropométriques : tour de taille et IMC, indicateurs de graisse abdominale et de surpoids.
  • Marqueurs inflammatoires : CRP ultrasensible, pour détecter une inflammation de bas grade, facteur de risque cardiovasculaire. 

Réaliser régulièrement ce bilan permet de repérer les anomalies avant qu’elles ne deviennent problématiques et de mettre en place des mesures préventives adaptées. Il s’agit d’un outil clé pour protéger son cœur et maintenir son équilibre métabolique au quotidien.

LE SYNDROME MÉTABOLIQUE CHEZ LA FEMME

Chez la femme, les hormones sexuelles jouent un rôle protecteur sur le métabolisme jusqu’à la ménopause. Les œstrogènes favorisent une bonne sensibilité à l’insuline et une répartition harmonieuse des graisses, limitant le risque de prise de poids abdominal et de déséquilibres lipidiques[8].

Avec la chute hormonale liée à la ménopause, le métabolisme change : la graisse se concentre davantage autour de l’abdomen, les taux de cholestérol LDL augmentent et la pression artérielle tend à s’élever. Ces changements expliquent que le risque cardiovasculaire des femmes après 50 ans rejoint celui des hommes, et que le syndrome métabolique devient plus fréquent[9].

Pour limiter les effets de la ménopause sur le métabolisme et le cœur, plusieurs mesures sont à privilégier :

    syndrome metabolique
    • Préserver la masse musculaire : pratiquer une activité physique régulière, combinant cardio et renforcement musculaire.
    • Adapter l’alimentation : réduire les sucres rapides, privilégier les fibres, les oméga‑3 et les aliments anti-inflammatoires, inspirés du régime méditerranéen.
    • Gérer le stress et soutenir la santé hormonale : favoriser un sommeil de qualité, la relaxation ainsi qu’un mode de vie anti-inflammatoire.

      Ces stratégies permettent de limiter la prise de graisse abdominale, de maintenir l’équilibre métabolique et de protéger la santé cardiovasculaire, tout en accompagnant naturellement le métabolisme féminin pendant cette période de transition[10].

      AGIR NATURELLEMENT POUR RÉÉQUILIBRER SON MÉTABOLISME ET PROTÉGER SON CŒUR

      Préserver l’équilibre métabolique repose avant tout sur des gestes simples mais réguliers. Alimentation, mouvement, gestion du stress et sommeil agissent en synergie tels les piliers d’une prévention naturelle et efficace du syndrome métabolique, soutenant à la fois le cœur, le poids et l’énergie quotidienne.

      1️⃣ Bouger au quotidien : un véritable “médicament naturel" :

      L’activité physique régulière est la première stratégie pour contrer le syndrome métabolique. Selon l’OMS, pratiquer au moins 150 minutes d’activité modérée par semaine (marche rapide, vélo, natation…) ou 75 minutes d’activité intense est idéal pour stimuler la combustion des graisses et réguler la tension artérielle[11]. L’ajout de 2 séances de renforcement musculaire hebdomadaires entretient la masse maigre, essentielle à la dépense énergétique et à la sensibilité à l’insuline.

      2️⃣Manger équilibré : le modèle méditerranéen, la référence cardio-métabolique

      Reconnue par l’OMS comme l’un des modèles alimentaires les plus protecteurs, l’alimentation méditerranéenne s’appuie sur des aliments bruts, colorés et riches en nutriments protecteurs.

      Elle met à l'honneur des aliments bons pour le cœur :

      • Les fruits et légumes frais, riches en antioxydants et fibres ;
      • Les légumineuses (lentilles, pois chiches, haricots) et les céréales complètes ;
      • Les poissons gras (sardine, maquereau, saumon), riches en oméga-3 anti-inflammatoires ;
      • L’huile d’olive vierge extra comme principale source de lipides ;
      • Les oléagineux (noix, amandes), riches en acides gras mono-insaturés.

      Des études cliniques ont montré qu’une alimentation méditerranéenne diminue significativement le risque d’événement cardiovasculaire majeur[12]. Ce régime améliore également la sensibilité à l’insuline et la composition du microbiote intestinal[13].

      3️⃣ Gérer le stress et bien dormir : les indispensables pour apaiser le métabolisme

      Le stress chronique active la production de cortisol, hormone qui favorise le stockage de la graisse abdominale et perturbe la régulation du sucre sanguin. Pour restaurer l’équilibre hormonal, il est recommandé d’adopter des pratiques de relaxation régulières :

      • Respiration consciente et cohérence cardiaque, 5 minutes, 3 fois par jour ;
      • Yoga, méditation ou marche en pleine nature, pour diminuer la tension mentale et l’inflammation ;
      • Sommeil réparateur de 7 à 8 heures par nuit, qui stabilise la glycémie et régénère les fonctions métaboliques.

      4️⃣ Soutenir son équilibre : des actifs naturels au service de la santé

      Pour rééquilibrer le métabolisme et protéger le cœur, certains actifs naturels ont démontré leur efficacité. Associés à une hygiène de vie adaptée, ils permettent de renforcer la santé cardio‑métabolique de manière naturelle.

        • La nattokinase : cette enzyme extraite du natto fermenté possède un effet hypolémiant idéal pour aider à retrouver une cholestérolémie normale[14]. L’actif breveté Nattiase® est une source de nattokinase de très haute qualité, pure et à forte activité enzymatique.
        • La coenzyme Q10 (ubiquinol) : ce puissant antioxydant protège les cellules cardiovasculaires contre le stress oxydatif et soutient la production d’énergie dans les cellules musculaires, favorisant une meilleure performance métabolique. L’actif UbiquinolTM résulte d’un procédé de fabrication unique, lui permettant d’être bio-identique à celui synthétisé par le corps humain.
        • Le chrome : cet oligo-élément essentiel contribue au maintien d’une glycémie normale et au métabolisme normal des macronutriments. En synergie avec du fenugrec, de la cannelle et de la berbérine, il favorise la régulation de la glycémie.
        • L’ail noir : l’actif breveté ABG10+® permet de réguler la pression artérielle et aide à combattre le stress oxydatif[15]. Associé à des extraits de feuille d’olivier et de l’aubépine, il aide au maintien d’une pression sanguine normale.
        • Lactobacillus gasseri : cette souche probiotique est reconnue pour ses effets sur la diminution de la graisse viscérale[16].

          Ces actifs naturels peuvent être associés au sein de compléments alimentaires spécifiquement formulés pour la santé du cœur et du métabolisme. Leur synergie permet une action globale : régulation de la glycémie et des lipides, soutien de la fonction vasculaire, l'équilibre du microbiote et réduction du stress oxydatif.

          LA GRAISSE ABDOMINALE, UN RISQUE CARDIOVASCULAIRE MAJEUR

          Toutes les graisses corporelles ne présentent pas le même risque pour la santé. On distingue principalement :

          • La graisse sous-cutanée, située juste sous la peau, relativement peu nocive ;
          • La graisse viscérale, accumulée autour des organes internes (foie, cœur, intestins), particulièrement délétère pour le métabolisme et le cœur.
          • La graisse blanche, la plus abondante, stocke l’énergie sous forme de triglycérides ;
          • La graisse brune, riche en mitochondries, brûle l’énergie pour produire de la chaleur, elle est protectrice contre le surpoids ;
          • La graisse beige, intermédiaire entre blanche et brune, peut être activée par le froid ou l’exercice pour favoriser la dépense énergétique.

            La graisse viscérale agit comme un véritable organe inflammatoire : elle produit des cytokines et adipokines, des molécules qui perturbent la régulation du sucre, des lipides et favorisent l’inflammation chronique. En excès, elle favorise l’hypertension, la dyslipidémie et la dysfonction endothéliale, tous des facteurs directement reliés aux maladies cardiovasculaires[4]. Une méta‑analyse a d’ailleurs établi que pour chaque 10 cm de plus au tour de taille, le risque de maladie cardiovasculaire augmente de 3,4 % chez les femmes, ce qui souligne le rôle prédictif de l’obésité abdominale indépendamment de l’IMC[17].

            graisse abdominale

              Pour diminuer la graisse abdominale durablement, une approche holistique est nécessaire :

              • Bouger chaque jour : marche rapide, gainage, musculation douce ou natation pour activer la dépense calorique et préserver la masse musculaire.
              • Limiter les sucres rapides et les boissons sucrées : réduire les pics glycémiques qui stimulent le stockage de graisse.
              • Améliorer le sommeil et gérer le stress : un cortisol chronique élevé favorise le stockage abdominal.
              • Soutenir le foie et la digestion via des plantes drainantes comme l’artichaut, le pissenlit ou la gentiane.
              • Introduire des actifs naturels ciblés : en complément de mesures hygiéno-diététiques, le thé vert est un allié de taille puisqu’il stimule la dégradation des graisses et aide à réduire la graisse corporelle.

              Notre équipe de rédacteurs est composée de docteurs en médecine, biochimistes, naturopathes et d’experts en nutrition, micronutrition et diététique. 

              Sources : 

              [1]https://www.inserm.fr/c-est-quoi/pour-seviter-un-bide-cest-quoi-le-syndrome-metabolique/  

              [2] Reaven GM. Insulin resistance: the link between obesity and cardiovascular disease. Med Clin North Am. 2011 Sep;95(5):875-92. doi: 10.1016/j.mcna.2011.06.002. PMID: 21855697.

              [3] Hotamisligil GS. Inflammation and metabolic disorders. Nature. 2006 Dec 14;444(7121):860-7. doi: 10.1038/nature05485. PMID: 17167474.

              [4] Després JP. Abdominal obesity and cardiovascular disease: is inflammation the missing link? Can J Cardiol. 2012 Nov-Dec;28(6):642-52. doi: 10.1016/j.cjca.2012.06.004. Epub 2012 Aug 11. PMID: 22889821.

              [5] Tilg H, Moschen AR. Microbiota and diabetes: an evolving relationship. Gut. 2014 Sep;63(9):1513-21. doi: 10.1136/gutjnl-2014-306928. Epub 2014 May 15. PMID: 24833634.

              [6] Zhao L. The gut microbiota and obesity: from correlation to causality. Nat Rev Microbiol. 2013 Sep;11(9):639-47. doi: 10.1038/nrmicro3089. Epub 2013 Aug 5. PMID: 23912213.

              [7] Klein S, Allison DB, Heymsfield SB, Kelley DE, Leibel RL, Nonas C, Kahn R; Association for Weight Management and Obesity Prevention; NAASO, The Obesity Society; American Society for Nutrition; American Diabetes Association. Waist circumference and cardiometabolic risk: a consensus statement from Shaping America's Health: Association for Weight Management and Obesity Prevention; NAASO, The Obesity Society; the American Society for Nutrition; and the American Diabetes Association. Am J Clin Nutr. 2007 May;85(5):1197-202. doi: 10.1093/ajcn/85.5.1197. PMID: 17490953.

              [8] Carr MC. The emergence of the metabolic syndrome with menopause. J Clin Endocrinol Metab. 2003 Jun;88(6):2404-11. doi: 10.1210/jc.2003-030242. PMID: 12788835.

              [9] Janssen I, Powell LH, Crawford S, Lasley B, Sutton-Tyrrell K. Menopause and the metabolic syndrome: the Study of Women's Health Across the Nation. Arch Intern Med. 2008 Jul 28;168(14):1568-75. doi: 10.1001/archinte.168.14.1568. PMID: 18663170; PMCID: PMC2894539.

              [10] Cabre HE, Woolf EK, Redman LM. Precision Nutrition for Management of Cardiovascular Disease Risk during Menopause. Lifestyle Genom. 2024;17(1):93-101. doi: 10.1159/000540337. Epub 2024 Jul 24. PMID: 39047690; PMCID: PMC11394930.

              [11] https://www.who.int/fr/news-room/fact-sheets/detail/physical-activity

              [12] Estruch R, Ros E, Salas-Salvadó J, Covas MI, Corella D, Arós F, Gómez-Gracia E, Ruiz-Gutiérrez V, Fiol M, Lapetra J, Lamuela-Raventos RM, Serra-Majem L, Pintó X, Basora J, Muñoz MA, Sorlí JV, Martínez JA, Martínez-González MA; PREDIMED Study Investigators. Primary prevention of cardiovascular disease with a Mediterranean diet. N Engl J Med. 2013 Apr 4;368(14):1279-90. doi: 10.1056/NEJMoa1200303. Epub 2013 Feb 25. Retraction in: N Engl J Med. 2018 Jun 21;378(25):2441-2442. doi: 10.1056/NEJMc1806491. Erratum in: N Engl J Med. 2014 Feb 27;370(9):886. Corrected and republished in: N Engl J Med. 2018 Jun 21;378(25):e34. doi: 10.1056/NEJMoa1800389. PMID: 23432189.

              [13] Merra G, Noce A, Marrone G, Cintoni M, Tarsitano MG, Capacci A, De Lorenzo A. Influence of Mediterranean Diet on Human Gut Microbiota. Nutrients. 2020 Dec 22;13(1):7. doi: 10.3390/nu13010007. PMID: 33375042; PMCID: PMC7822000.

              [14] https://www.pharmanager-ingredients.com/nattiase-nattokinase/

              [15] Données fournisseur ABG10+®

              [16] Kim J, Yun JM, Kim MK, Kwon O, Cho B. Lactobacillus gasseri BNR17 Supplementation Reduces the Visceral Fat Accumulation and Waist Circumference in Obese Adults: A Randomized, Double-Blind, Placebo-Controlled Trial. J Med Food. 2018 May;21(5):454-461. doi: 10.1089/jmf.2017.3937. Epub 2018 Apr 24. PMID: 29688793.

              [17] Xue R, Li Q, Geng Y, Wang H, Wang F, Zhang S. Obésité abdominale et risque de maladies cardiovasculaires : une méta-analyse dose-réponse de trente et une études prospectives. British Journal of Nutrition . 2021 ; 126(9) : 1420-1430. doi : 10.1017/S0007114521000064

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