Les radicaux libres sont des molécules très réactives et produites en continu par l’organisme notamment lors de la respiration cellulaire. En petite quantité, ils sont utiles car ils participent à certaines défenses immunitaires ou à la communication cellulaire. Toutefois, lorsqu’ils s’accumulent, ils deviennent toxiques. Ils s’attaquent aux membranes, aux protéines et à l’ADN et perturbent le bon fonctionnement des cellules.
Leur production augmente sous l’effet de plusieurs facteurs dont la pollution, le tabac, l’exposition solaire, le stress chronique, une alimentation déséquilibrée, la sédentarité ou le sport excessif sans récupération. Quand l’équilibre est rompu, le vieillissement s’accélère
En temps normal, le corps sait gérer les radicaux libres grâce à son propre système antioxydant mais sous l’effet du stress, de la pollution, d’une mauvaise hygiène de vie ou simplement du temps qui passe, ces molécules instables deviennent trop nombreuses. Lorsque la capacité antioxydante de l’organisme arrive à épuisement, l’équilibre se rompt, c’est ce qu’on appelle le stress oxydatif.
Ce déséquilibre fait partie des facteurs qui participent à l’apparition des signes du vieillissement de l’intérieur comme de l’extérieur. Il est souvent associé à :
▶️ Une perte de fermeté de la peau
▶️ Un affaiblissement du système immunitaire
▶️ Un vieillissement cérébral plus rapide
En résumé, les cellules s’usent plus vite. C’est précisément dans ce contexte que les antioxydants prennent tout leur sens. En aidant le corps à neutraliser l’excès de radicaux libres, ils soutiennent les mécanismes de réparation[1], contribuent à ralentir la dégradation des tissus et soutiennent l’organisme dans sa capacité à bien vieillir.